Résumé :
D’un côté, Charlie, une jeune et
brillante chercheuse en psychologie. De l’autre, quatre hommes qui vivent
intensément chaque seconde. Lorsque leurs routes se croisent, la vie de Charlie
bascule. Qui sont-ils ? Que veulent-ils ? Dans quoi souhaitent-ils
l’embarquer ? Obligée de disputer une partie dont elle ignore les règles,
Charlie compte se battre avec ses armes. Force mentale ou force physique. Vérité
ou manipulation. Amour ou syndrome de Stockholm. Qui va emporter cette dernière
manche ?
Mon avis :
Mais heu ! sont les premiers
mots qui viennent de sortir de ma bouche en fermant Stockholm.
Bordel, j’en veux plus ! Je
veux une suite ! Je veux plus (pardon, je me répète) ! Plus de cette
bande de malades, plus de leur histoire, plus de… plus de tout.
D’abord, merci, merci infiniment
Avril Sinner, Oly TL, et BMR. Grâce à ce livre, j’ai pu me sortir de l’enfer
qu’est ma vie pendant quelques heures, faire un peu le vide dans le foutoir
qu’est mon esprit, et ça, ça n’a pas de prix.
Le résumé m’avait envoyé du rêve,
les pages ont été un exutoire.
Immédiatement, dès les premières
lignes, j’ai été charmé par leurs plumes, par leurs mots, par cette histoire.
J’ai plongé tête la première pour ne pas ressortir indemne. Vous croyez que je
suis atteinte ? Moi, oui, parce que j’ai déjà envie de replonger, de
retrouver cette brande de braqueurs, tous plus givrés les uns que les autres.
Définitivement, ce livre est plus
qu’un coup de cœur.
Et en parlant de cœur, celui-ci a
été pas mal malmené durant ma lecture. Tout d’abord intrigué par Charlie, il
s’est pris de compassion pour cette psy, a palpité durant son calvaire, rit devant
son caractère bien trempé, sué de la voir souffrir, été agacé par certaines de
ses réactions. Mais il n’y a pas qu’elle bien sûr, il y a eux. Ces quatre
bandits, drogués à l’adrénaline, qui m’ont bien retourné la tête, qui m’ont
embarqué avec eux sans le savoir, pour lesquels j’ai eu de la compassion, des
envies de les gifler, des fou-rires.
Mais celui qui m’aura le plus
intrigué, ce n’est pas le héro de ce livre, ni le psychopathe incapable de
ressentir, ou encore ce grand black sympathique qui m’a fait fondre plus d’une
fois par ses attentions et sa gentillesse flagrante, mais le fou des blondes,
enfin de leurs cheveux. Malgré ce côté un peu flippant, (au fait,
pourquoi cette passion ?), et sa phobie des serpents qui m’a fait
hurler de rire, il a un truc qui m’intrigue énormément (mais quoi ?), et
j’aurais aimé en savoir encore plus sur lui. Et sur le nordique aussi, être
dans sa tête, même si ça doit être assez flippant.
Oh… au fait, il serait possible
d’avoir une suite ? S’il vous plaît ! Je vous en supplie !
Pitié !
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