Résumé :
Rose est une belle jeune femme,
organisatrice d’événement qui a perdu son sex-appeal suite à un drame.
Sam est un beau pilote de course
reconnu dans son domaine qui fantasme depuis le lycée sur son amie.
Un billet d’avion, et une
histoire d’amour décolle.
Ensemble, ils vont surmonter un
traumatisme, le secret de Rose…
Mon avis :
Après plusieurs hésitations à
accepter ce SP, j’ai fini par me lancer sans grande conviction.
Le résumé assez court ne donne
pas vraiment d’indications pour imaginer ce qu’il va se passer. J’irais même
jusqu’à dire que sa simplicité laisse imaginer une histoire emplie de clichés.
Une femme peu sûre d’elle à cause
d’un drame, un beau gosse qui fantasme sur elle depuis le lycée… On imagine
immédiatement ce qui va se passer, surtout quand il est question d’amour qui
décolle et de surmonter un traumatisme.
Déjà dans mon idée, j’ai entamé
ce livre et … heu… le premier paragraphe m’a directement plongée dans le bain.
Ou pas. Enfin, j’espérais, parce que ce début est trop narratif, trop
explicatif, trop scolaire, trop… Bref, je pourrais continuer comme ça encore
pas mal de temps. Une première longueur, une première envie de fermer ce
bouquin.
Mais je ne suis pas du genre à
baisser les bras pour si peu. J’aime me pousser, me forcer un peu, parce qu’il
m’est déjà arrivé d’être agréablement surprise.
J’ai donc poursuivi ma lecture.
Un chapitre, deux, trois… Et je
reste sur mon premier ressenti, quelques longueurs, des informations balancées
comme ça, sans réelle raison, alors qu’elles auraient pu être amenées
autrement. Des passages trop rapides ; frustrant. Ils auraient pu être un
peu plus développés.
Et l’histoire
en elle-même ?
Une jeune
femme, abîmée par la vie et un ancien compagnon qui a (presque) toutes les
tares ; un ancien timide devenu pilote de formule 1 et qui ose enfin
dévoiler ses sentiments à celle qu’il aime depuis le lycée, une meilleure amie
complice et une famille solidaire. En gros une histoire sympathique, sans
réelle surprise, sans véritable suspens, qui se lit rapidement, avec plusieurs
clichés (qui m’ont fait bondir de ma chaise… enfin, de mon canapé)
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